Lewis Mestry
Informations
Salut à toi, je m'appelle Lewis Mestry mais tout le monde me surnomme Lewis et je suis né(e) le 21 septembre 1800 , à Londres en Angleterre. Si tu sais compter j'ai donc 218 ans. Aujourd'hui, je travaille en tant que Professeur de nécromancie. Tu veux savoir un secret ? Dans la vie je suis hétérosexuel et je suis actuellement célibataire. Oh, et surtout n'oublie pas que je suis Dullahan. Pour terminer ma principale phobie est la solitude
Pouvoirs
Nécromancie (level 4) : Ranimé des animaux, des humains et les contrôler. Tuer un être humain est également à sa portée.
Spiritisme (level 3) : Parler aux morts, les invoquer et les chasser au besoin.
Contrôle des ombres (level 3) : manipulation des ombres.
Mort subite (level 3) : permet de tuer une personne en prononçant 3 fois son nom sous forme mort-vivant.
Pacte du Dullahan (level 3) : permet de créer d’autre Dullahan.
Immortalité temporelle
Télékinésie | Présence: 30% | Contrôle : Nul - Correct - Moyen - Bon - Très bon
Linguisme | Présence: 90% | Contrôle : Nul - Correct - Moyen - Bon - Très bon
Apprentissage accéléré | Présence: 90% | Contrôle : Nul - Correct - Moyen - Bon - Très bon
Résistance | Présence: 30% | Contrôle : Nul - Correct - Moyen - Bon - Très bon
Perception | Présence: 70% | Contrôle : Nul - Correct - Moyen - Bon - Très bon
Vision améliorée | Présence: 60% | Contrôle : Nul - Correct - Moyen - Bon - Très bon
Empathie | Présence: 70% | Contrôle : Nul - Correct - Moyen - Bon - Très bon
Caractère
Lewis se considère comme quelqu’un de drôle et peu sont ceux qui partagent cette opinion. En effet, ses blagues tournent généralement autour de mêmes sujets : les têtes et les morts. Ses plaisanteries macabres restent tout de même inoffensives. Il ne cherche pas à effrayer, mais il en va sans dire que cet objectif est rarement atteint. Il est également un individu débordant d’énergie et ses cours suivent son schéma de pensée : les cours doivent être vivant. Il aime la nature et la vie et il veut partager cette joie, surtout auprès de ceux qui ont des dons pour la nécromancie. Il a un réel intérêt pour ses élèves qu’ils considèrent comme ses enfants. Il est un de ces professeurs qui consacrent du temps à ses élèves.
Cependant, cette façade de bonne humeur cache un être beaucoup plus sombre. Si il est professeur de nécromancie, ce n’est pas pour rien. Il est un connaisseur sur le sujet. Pas seulement pour la nécromancie en elle-même, mais la mort elle-même. Il connait mille moyens de tuer un être, quel organe peut être vital et en quelle proportion, comment couper de la douleur, les doses de poisons mortels et bien d’autres connaissances bien trop macabres. S’il en registre et expérimente tant sur la mort, c’est car, selon lui, il faut parfaitement connaitre la mort pour préserver la vie. Mais cette idée, louable en quelque sorte, ne justifie pas tout. En effet, Lewis a tendance à garder des cadavres et ce, bien trop longtemps et les ranime un peu trop souvent. Et c’est là le grand problème de Lewis : la solitude, ou plutôt la peur de la solitude. Il a peur de rester seul. Il crée des liens avec les vivants, mais il est tellement habitué avec les morts qu’il passe plus de temps avec eux qu’avec des êtres encore vivants. Selon lui, les vivants créent de la peine par leur disparition, pas les morts.
Biographie
Je pourrais vous dire que j’ai eu une enfance horrible, désastreuse et un destin tragique. En vérité, vous le penserez certainement en lisant mon histoire mais, pour moi, ma vie est juste une vie comme une autre.
J’ai naquis en 1800 à Londres. Ma mère était nécromancienne et mon père est Dullahan . Ma naissance ne fut pas de tout repos : 30 heures. Je faillis mourir et tuer ma mère avant même d’être. Ma vie a commencé sous le signe de la mort selon certains, ou sous l’espoir selon d’autres. En tout cas, malgré tout, je fus en bonne santé mais ma mère en resta fragilisée. Je grandis ainsi entourer de mes parents, mais aussi des morts. Que des morts… Une idée de mon père qui voulait faire de moi un guerrier. Il avait donc eu l’idée que je sois entouré de cadavres durant mon enfance pour être habitué à l’odeur. Il faisait ça pour mon bien. Vous savez, quand on est enfant, on croit ses parents. Si j’avais su ma condition, j’aurais peut-être essayé de me rebeller, ou peut-être pas… Je ne sais pas en réalité.
A oui, je vous avais parlé du projet de mon père : faire de moi un guerrier. De ce que j’ai compris, mon père avait épousé ma mère dans l’espoir de créer un puissant nécromancien : moi. Son plan avait réussi en quelque sorte. J’avais effectivement un don pour la nécromancie et même le spiritisme en général. Cependant, il n’avait pas prévu un détail : mon caractère. Je n’étais pas un guerrier, j’étais plus un explorateur. De mes 14 ans à mes 30 ans, mon père et ma mère m’apprirent à me servir du spiritisme et de la nécromancie. Mais la vie frappa un jour . Un groupe d’homme nous trouva moi et ma mère alors que mon père était parti régler des affaires. Ma mère n’a pas survécu et, moi, je survis assez longtemps pour être sauvé par mon père.
A bout de souffle, apeuré, blessé et délirant un peu, je demandai à mon père de faire de moi un des siens. Proposition qu’il accepta tout de suite. En effet, durant toute ma vie, il avait s’en cesse essayer de faire de moi un Dullahan. Ma mère s’était opposée à me forcer la main et mon père se soumettait. Je crois, qu’en y réfléchissant, mon père aimait ma mère enfin de compte.
Ce jour marqua le début de ma nouvelle vie. Nous partîmes à deux, laissant derrière nous cette maison emplie de souvenir. Nous avons exploré l’Angleterre, l’Irlande, l’Espagne pour arriver en France. Ce voyage dura plus de 50 ans. La nécromancie et le spiritisme étant déjà bien acquis, j’appris le contrôle des ombres. Sujet très peu intéressant pour moi, mais que j’appris tout de même, faute d’autres occupations. J’appris également la raison qui avait poussé mon père à me créer : la vengeance contre Lilith. Il ne m’expliqua pas clairement sa raison, mais il me semblait comprendre qu’il s’agissait d’un massacre de son village. Il avait alors cherché un moyen de se venger et voilà comme il était devenu un Dullahan. Cette Lilith me révolta et j’acceptais d’aider mon père. Pour la première fois en plus de 80 ans, il me sourit.
La vraie question était pourquoi s’être arrêter en France. Un nécromancien très spécial devait venir. J’ignorai qui était exactement cet individu, mais son grand-père avait une dette envers ma mère. Ma mère avait un secret envers cet homme et elle avait promis de se taire si il lui rendais un service : m’apprendre le dernier pouvoir de la nécromancie. Ce n’était que plus tard que j’appris la vraie origine de ce membre de la famille royale. A l’heure d’aujourd’hui, j’ignore toujours qui était exactement cet homme ainsi que son secret.
Et le temps passa. Mon père voulu que je m’entraine à ce nouveau don, mais celui-ci me répugnait. Tuer des hommes juste en les touchant me révoltait au plus haut point. J’appris tout de même à m’en servir, mais je ne passai pas le pas de tenter cette expérience sur un homme et je promis de ne jamais le faire… Douce insouciance.
1913 fut l’année durant laquelle je connus pour la première fois la solitude : mon père mourut. Pas en combat, pas en sauvant quelqu’un. Non, il s’est juste fait écraser par une voiture. Oui, les morts ne sont pas toutes tragiques ou digne de la personne. A cause de ce stupide accident, je me retrouvais seul pour la première fois. C’est sûrement cela qui ne m’a pas fait comprendre que la guerre se préparer. Non, tout ce que je voyais, c’était la demande de volontaire. Je ne voulais plus être seul. C’était tout. Je connus la guerre.
La guerre fut éprouvante. La guerre était un lieu où le confort était une vague idée du passé. C’était là, qu’en plus de 100 ans, je voyais la mort dans toute sa violence. Cela ne me mit pas en peur. Non, cette mort omniprésente ne me dérangeait. Ce qui me dérangeait était la souffrance des vivants pour passer dans l’autre monde. Et c’était là que je me servis pour la première fois de mon dernier pouvoir. Non pas pour tuer, mais pour achever. Au fur et à mesure, mon bataillon me désignait comme l’ange de la mort. J’abrégeais les souffrances de mes camarades, juste en leur prenant la main. Une mort douce par rapport à leurs souffrances. J’étais craint, mais personne ne voulait me chasser. Personne ne savait qui aller mourir. Bien sûr, chaque semaine, je disparaissais un jour, adoptant ma forme de mort-vivant. Me servant des ombres, j’allais dans le camp adverse. Certains en auraient profité pour faire un carnage. Moins, non, j’allais voir les mourants, ceux qui n’avaient pas d’espoir. Toutes ces personnes, j’ai essayé de me souvenir de chacun d’eux. Je n’ai pas pu me souvenir d’un pourcentage de ceux tombés.
Un jour, la guerre prit fin. Les survivants se réjouirent. Moi, non, j’entrepris ma propre mission : transmettre le message des morts. Un nouveau voyage commença accompagné des esprits qui souhaitaient parler à leur famille. Mes voyages furent longs, mais j’étais toujours accompagné des spectres qui me tenaient compagnie. J’ai tellement d’histoire en mémoire, tellement de moments de joies qui ne sont pas les miens. J’ai appris à apprécier tellement de personnes. Certes, certains étaient de réelles ordures, je ne le nie pas. Mais j’ai vu la bonté cachée de l’humanité.
Mais je ne pus accomplir pleinement ma mission pour milles raisons : la mort des personnes concernées, les âmes refusant de transmettre leur message, etc. Et surtout, je fus ralenti par une nouvelle guerre, encore plus terrible que la précédente. Cette fois-ci, je ne pris pas part. Mais je continuai à visiter chaque camp, achevant leur mourant et sauvegardant leur visage. Il est possible que j’aie libéré quelques camps de concentration. Mais cette guerre me donnait d’autres visages, d’autres messages.
Ma mission sans fin s’arrêta cependant en 1995. J’avais honoré tous ceux que je pouvais. Mais je voulais continuer à communiquer. J’allai travailler dans des funérariums, transmettant ainsi de nouveaux messages à ceux qui voulaient l’entendre. Autant pour les soldats, je pouvais prétendre que c’était mon grand-père qui me demandait de transmettre le message, autant là, je n’avais aucune raison de connaitre leur message. Seule une ne me rejeta pas : une vieille dame. Une femme avec son petit caractère avec qui j’ai gardé un bon contact. Quand je perdis mon travail, ce qui ne tarda pas, elle m’accueillit chez elle. Elle me paya même des études car cette bonne femme avait un sacré paquet d’argent. Oui, je sais j’avais presque 200 ans et fait aucune étude dans ma vie. Comique n’est-ce pas ?
Soit, j’entrepris des études de médecine. Avec mes talents naturels, j’obtins assez facilement mon diplôme. Je devins alors médecin légiste. Avec un travail en poche et une maison, je pus me créer une petite vie bien calme. Ma nouvelle amie me parlait longuement d’elle. Mais bien sûr, nul n’est immortel comme moi. Mon amie mourut dans son sommeil. Un repos bien mérité pour une personne incroyable.
J’héritai alors de sa fortune que je pus profiter longtemps. En effet, avec mes anciennes expériences aux funérariums, j’avais à présent une réputation de sorcier ce qui n’était pas totalement faux. Pendant plusieurs mois, je dus fuir, poursuivi par des fanatiques bien décidés à me faire la peau. Je me réfugiai au seul endroit au monde où j’avais un semblant de sécurité : l’Institut Chevalier. Avec mes compétences et mes demandes, on me nomma professeur de nécromancie. J’allais pouvoir montrer la beauté dans la mort : la vie.
De l'autre coté de l'écran
♪ Pseudo/prénom pas de pseudo
♪ âge 20 ans
♪ Présence 6-7/7
♪ tu nous as trouvés comment ? Le Chaudron
♪ Une dose d'amour ? ️louha