Salut à toi, je m'appelle Nathan Abraxas mais tout le monde me surnomme Nath et je suis né(e) le 29février 1984 , à Lyon, France. Si tu sais compter j'ai donc 34ans. Aujourd'hui, je travaille en tant que réparateur bricoleur du dimanche / étudiant. Tu veux savoir un secret ? Dans la vie je suis bisexuel et je suis actuellement célibataire ou presque. Oh, et surtout n'oublie pas que je suis sorcier. Pour terminer ma principale phobie est les serpents

Pirokinésie, Aérokinésie

C'est un sorcier, ou du moins, il possède des pouvoirs magiques. Avec lesquels il est assez peu doué pour éviter de s'en servir, et effrayer tout le monde quand il essaye. Enfin, il essaye, et arrive même à faire quelques petites choses du niveau d'un gosse de cinq ans avec ses pouvoirs. Jusqu'à ce qu'on le surprenne par derrière et qu'il perde tout contrôle, allant faire exploser une fenêtre qui n'avait rien demandé... En général, il ne s'en sert pas sans un mentor quelconque à coté, ou alors, uniquement sur des sorts qu'il connait comme sa poche, comme allumer sa cigarette ou animer quelques secondes un origami.

Télékinésie | Présence: 50% | Contrôle : Nul
Linguisme | Présence: 5% | Contrôle :   Bon
Apprentissage accéléré | Présence: 5% | Contrôle : Nul
Résistance | Présence: 40% | Contrôle : Moyen
Perception | Présence: 40% | Contrôle : Moyen
Vision améliorée | Présence: 20% | Contrôle : Bon
Empathie | Présence: 50% | Contrôle :  Moyen

Nathan? C'est une calamité ambulante. Où qu'il aille, les ennuis ne sont jamais très loin, et si il y en a un pour tomber dans un piège, c'est bien lui. Il possède cependant un talent rare pour se dépêtrer tout seul de ses ennuis, et ne supporte pas que la cavalerie arrive quand il "était sur le point d'y arriver, pas besoin de renforts, merci." Il connait l'infirmerie mieux que les toubibs eux-même à force de s'y faire réparer des trucs, soit du à ses bêtises, soit du à une nouvelle manifestation incontrôlée de ses pouvoirs. Il semblerait que même son inconscient lui en veuille.

Nath, c'est un gosse qui a oublié de grandir. Insouciant, capable de s'émerveiller d'un truc inédit, et ne réfléchissant presque jamais aux conséquences de ses actes. D'aucun diraient inconséquent. Lui répond qu'il profite de la vie, et que si ça gène quelqu'un, il s'en fout.

Les responsabilités ne sont pas son fort. Il les a fuies toute sa vie durant et s"il y a bien une chose qu'il déteste, c'est de se retrouver seul face à un choix important. La peur de parvenir à faire un faux pas le ramène constamment à demander l'aide de son entourage. Juste "en cas où". La seule raison pour laquelle il sait prendre ses responsabilités est ses gosses, bien qu'il soit davantage un grand frère qu'un père pour eux. C'est comme ça, l'autorité il n'en a aucune, et tant mieux que son ainée n'en ai pas besoin, et que son cadet doit encore bien trop jeune pour la requérir. Par contre, il s'inquiète dès qu'il ne les a plus sous les yeux, et pourrait rapidement devenir très chiant avec ça.

Fumeur à ses heures, ne refusant jamais un verre de rhum - "mais du bon hein, la picrate du supermarché tu te la gardes, merci" - et ayant touché à à peu près toutes les drogues sur le marché, il se soigne, et fait même des efforts considérables étant donné le trou dans lequel il s'était enterré. Cependant, il a encore du boulot devant lui, derrière ses façades de gamin immature, et a toujours tendance à replonger un peu quand des contrariétés se présentent à lui.

Incapable de conserver une relation amoureuse stable plus de six mois. Depuis son divorce, c'est comme ça, il drague plus que jamais, mais est incapable de faire confiance sur le long terme, s'éloignant sans le voir lui même dès que ça devient trop sérieux. Il ne croit tout simplement plus en l'amour, et juge que ce ne sont que belles paroles auxquelles seuls les idiots peuvent croire. Mais il s'en fiche, et part du principe que "un de perdu, dix de retrouvés". Seuls ses enfants échappent à la règle.

Il est du genre rancunier. Se fâche rarement, mais quand on se le met à dos, ce n'est pas la peine d'y revenir. Son ex-femme l'a appris à ses dépens. Autant dire que quand il vient chercher sa fille, il l'attends sur le trottoir, et n'adresse pas un regard à sa mère.

- Le mariage est la principale cause de divorce, j'en ai fait les frais, j'y retournerai pas.
- J'ai un chat noir et blanc appelé Anselme, dont on dit que je m'occupe plus que mes gosses. Faut dire que je le vois plus aussi...
- Mon demi-frère est flic... et moi, j'ai su passer tellement de nuits en garde à vue et autres cellules de dégrisement que j'ai arrêté de les compter...
- Je suis incapable de mentir. Le rouge aux joues, la tremblotte, le bégaiement... je vous sort la panoplie complète du mauvais menteur.
- Question magie, je suis une terreur. Surtout auprès des verres et autres fenêtres. Suffit que je stresse et paf, j'en pète une.
- Incapable de me lier à quelqu'un de façon durable, ma relation la plus longue de ces dix dernières années a du durer... six mois. Et ce fut un exploit jamais réitéré.
- Je suis ambidextre, et j'ai un don pour le dessin.
- J'ai tenu un revolver, rien qu'une fois. Expérience désastreuse. Mon truc, c'est plutôt les armes blanches. Non, je n'en porte pas constamment sur moi, mais savoir se défendre, ça peut être utile, surtout quand vous êtes un sorcier incapable de rendre ses pouvoirs utiles à ça... ou à autre chose.
- On me dit que j'ai dix ans d'age mental. Vrai que ma fille parait plus mature que moi, mais si je suis resté gamin, parfaitement capable de me faire des marathons disney avec ma princesse au lieu de profiter des trois heures de sommeil qu'il me reste avant d'aller bosser, ou de faire le pitre, tout simplement, je ne suis pas totalement irresponsable, et je suis même du genre mère poule avec mes gosses, paniquant à l'idée de les perdre de vue une demi-seconde.
- Mon père était américain, débarqué en France plusieurs années avant ma naissance, ce qui explique davantage qu'une quelconque capacité de linguisme que je parle anglais presque aussi bien que français... ok, ça aide peut-être... un tout petit peu.
- J'ai un certain nombre de cicatrices sur le corps, souvenirs des mauvais traitements que j'ai reçu dans mon enfance aussi bien que des coups que j'ai pris dans la rue. Si je sais rendre les coups, j'en ai encaissé pas mal aussi. 
- Je ne dors jamais que d'un œil, et très peu d'heures consécutives. Toujours couché bien après l'aurore et levé bien avant l'aube. On dit que c'est une conséquence de mes années passées sur le trottoir, à devoir me méfier de ne pas me faire égorger dans mon sommeil. Peut-être. J'm'en fous en vrai, la seule chose que j'y vois c'est que je profite de 4 heures de journée de plus que les copains. En revanche, je suis le roi des micro-siestes, et je m'exerce même à tenter d'en faire sans fermer l’œil. Pratique quand les gens vous saoulent avec de longs discours.

Être heureux, c'est pas avoir une belle vie et trouver à s'en plaindre. C'est avoir une vie de merde et en profiter chaque jour.

Je suis né ici, à Lyon, dans cette grande ville qui m'a toujours pourtant paru si étroite. Depuis ma tendre enfance, je veux voir du pays, voyager, et découvrir des mondes inconnus... et pourtant, le plus loin où je sois allé, c'est Genève, pendant une sortie scolaire en primaire... bref. On est pas là pour parler de mes voyages scolaires.
Donc, je suis né à Lyon, le soir du 29février 1984. En découvrant rapidement l'avantage d'être né ce jour là et pas un autre. Un anniv tous les 4ans, on vieillit quatre fois moins vite c'bien ça? Ça me ferait donc, calcul rapide, 8ans et demi actuellement? Mon âge mental, comment vous avez deviné?
Ok d'accord, mon incapacité à rester concentré sur un sujet doit aider. Promis, je vais faire des efforts pour rester cohérent.
Donc, mon père était humain. Un notable du coin dont j'ai jamais vraiment compris la fonction, à part celle qui consiste à être pourri jusqu'à la moelle.  Ma mère? J'en sais rien. J'étais bien trop jeune quand elle est partie, et si je me rappelle sa voix comme nulle autre, son visage a totalement disparu de ma mémoire. Enfin, elle devait bien être sorcière, sinon, je sais pas d'où je tire ces pouvoirs qui me pourrissent la vie depuis qu'ils ont décidé de faire leur apparition.

J'avais six ans tout juste, je jouais aux Lego, ma maladresse s'est mise en route en voulant me faire ébouler la plus haute tour du monde en passant à coté pour aller rechercher d'autres pièces... bien sur, ça s'est éboulé, mais je crois que les quelques pièces qui flottaient autour de moi, c'est pas bien normal. Enfin, j'étais tout content d'aller montrer ce nouveau tour à Père... la raclée que j'ai pris m'a montré que j'aurai du m'abstenir... alors j'ai tout fait pour cacher ma magie, mais elle voulait trop se montrer. J'en ai cassé des trucs. Et pris des raclées...

Mon père, cet homme un jour capable d'éprouver de l'affection, et même, je le pense, une certaine fierté envers son fils, a changé du jour au lendemain. A vrai dire, il ne supportait plus ma présence, et savait me le faire remarquer. D'abord des mots, durs, cassants, et puis, quand cela ne suffisait pas, c'est de sa canne qu'il m'expliquait sa façon de voir les choses. L'année de mes six ans fut l'année de tous les changements pour moi. Le départ de ma mère, le déménagement dans cette grande maison que je détestais avec cette belle-mère qui me détestait et ce "frère" qui ne voulait surement pas d'un cadet sorti de nulle part dans ses pattes, et l'apparition de ma magie. Faut dire que tout ce chambardement devait être suffisant pour déclencher son arrivée... j'en sais rien, comment ça débarque, la magie? Personnellement, j'ai surtout appris à l'éviter afin d'éviter les coups qui venaient inévitablement avec elle. Et n'allez pas croire que je pouvais compter sur le charmant frangin pour m'aider. Il était plutôt du genre à courir prévenir Père de ma dernière connerie. C'est simple, lui et moi, dans notre enfance, nous nous détestions purement et simplement.

J'ai subi les coups pendant neuf ans, me frapper jusqu'à l'inconscience étant devenu pour mon paternel un moyen de se défouler et de me faire passer l'idée de me prendre pour David Copperfield. Ce dont j'étais responsable, moi? De rien, si ce n'est d'être dans ses pieds, toujours à portée de main quand l'envie de cogner lui prenait. Et quand l'envie me prenait de fuguer pour échapper à mon tortionnaire? Mauvaise idée, car au retour, la punition était la même. Quand je disais que je connaissais cette canne par cœur, jusqu'au pommeau en argent qui fait plus mal encore que tout le reste de l'outil. Des marques, j'en ai eu, et j'en ai encore, disséminées un peu partout sur le corps, exception faite de mon visage. Ne pas laisser de marques apparentes, c'est le crédo de tout parent qui frappe son gosse.

J'avais 15ans quand j'ai réussi à m'échapper pour de bon. Une fugue de plus qui a du être à ses yeux la fugue de trop. Après tout, si je ne voulais pas qu'il prenne soin de moi, il n'allait pas m'y forcer davantage non? Je pensais savoir me démerder tout seul, sans réaliser ce que cela signifiait de se retrouver à la rue à l'âge de 15ans. Et encore, j'ai cette veine immense d'être débrouillard et adaptatif, et assez futé pour savoir quand rendre les coups et quand me tirer. Ok, à dire vrai, j'ai pas expérimenté longtemps. J'ai été rapidement repéré par l'un ou l'autre de ceux de l'Institut. J'y ai passé deux années à réapprendre à vivre d'une manière dont je n'avais jamais vécu. La vie en communauté, les adultes qui vous regardent avec autre chose dans les yeux que dédain, agacement et haine, et surtout, apprendre qu'utiliser ma magie ne serait plus synonyme de conséquences douloureuses. Le plus compliqué, je crois. On déconditionne mal un animal battu. Levez la main en l'air et il reculera par crainte. C'est ce que j'étais, avant de connaitre l'Institut.

Pourquoi n'y ai-je passé que deux ans? Parce que lors d'une sortie, ma route a croisé celle d'une femme. Celle qui serait ma perte, et briserait ce qui restait de récupérable en moi. Une humaine, pour laquelle j'ai laissé tomber mes études et ma magie et me suis trouvé un appart, un boulot, bref, une vie normale. On est sortis ensemble, et de fil en aiguille, je l'ai même épousée. Bon, sans doute que l'annonce de sa grossesse m'a aidé à franchir le pas. J'en sais rien, quand j'y repense, j'me dis qu'on fait de belles conneries quand on est amoureux!

Non, la connerie, ça n'a pas été ma fille. Jamais. Elle, c'est bien la plus belle chose qu'il me soit arrivé en ce monde, et si j'avais à repartir de zéro, je referai tout pareil, juste pour être sur de la voir arriver de nouveau dans ma vie. Alors, y a des pères qui ne prennent pas même deux minutes dans la journée pour prendre leur gosse dans leurs bras, je crois que j'étais plutôt de ceux qui ne prennent pas deux minutes dans la journée pour la poser hors de mes bras. Ouais, je devais être chiant, mais à ma décharge, sa mère a jamais été archi maternelle non plus, alors ça devait pas la gêner plus que ça que je m'en occupe H24. Ça lui laissait largement le temps de me cocufier par derrière quoi. Et là, vous imaginez bien, le drame, le divorce, les avocats (et quoi de mieux que de coucher avec l'un d'eux pour qu'il vous soit efficace hein...), la garde plus que non équitablement partagée de la petite, et moi, j'ai replongé, mais alors là, en chute libre. Quand j'y repense, connerie complète. J'aurai du me montrer à la hauteur pour ma fille, mais les difficultés, je ne sais pas les gérer. Et de devoir passer de l'avoir constamment sous les yeux à ne pouvoir la voir qu'une après-midi par semaine, et encore, quand sa foutue mère l'aurai décidé, j'ai pas supporté.

Bref, ma fille avait deux ans, moi, quelque chose comme 21, j'ai du nous faire trois tentatives de suicide dans la même semaine, et j'vais éviter de dénombrer les bouteilles et les seringues que j'me suis envoyé au cours des six années qui ont suivi. J'me suis trainé dans les rues de Lyon, en solitaire cette fois. A vrai dire, il n'y en a qu'un qui savait m'approcher. Un qui ne m'a pas laissé le choix d'ailleurs, et, même s'il lui a fallu du temps pour ça, qui a su me montrer que j'étais le dernier des abrutis congénitaux à me pourrir la vie de la sorte alors que j'avais tout pour être heureux, pour peu que je le cherche un peu. "Si tu tire pas la couverture à toi, c'est pas la vie qui va te border toute seule". On a tous un talent bizarre. Lui, c'est d'inventer des dictons qui ne tiennent pas debout, mais qui se révèlent étrangement vrai dans le même temps.

Le déclic, j'l'ai eu à 27ans. C'était le huitième anniversaire de ma fille, et j'comptais bien en profiter pour la voir. Eh, j'avais fait les choses bien, j'étais sobre et clean, comme à chacune de mes visites. Ma fille pourra pas dire m'avoir vu bourré un jour, même quand j'étais au plus mal. Sauf qu'au lieu de retrouver ma fille, en arrivant devant chez sa mère, c'est mon frère que j'ai trouvé devant la porte. Ah oui, le fils prodige a réussi lui, il a joyeusement intégré les rangs de la police et a gentiment monté les échelons, faisant la fierté de notre père. Bref, il avait gardé plus de contacts avec mon ex qu'avec moi, faut croire, et entre deux critiques sur "l'autre abruti qui sert de père à sa fille", elle devait bien avouer que je tenais à ma fille comme à la prunelle de mes yeux, et que mon frère saurait peut-être me raisonner dans la situation du jour. Hein? Quoi? A oui, la situation. Je disais donc que j'avais pas trouvé ma fille chez elle. Normal, c'est plutôt à l'hosto qu'elle se trouvait. Mauvaise chute de vélo. Et il a pu y mettre tous les mots qu'il connait, le frangin, moi ce que je voyais, c'est que ma princesse allait mal et que je me devais d'être près d'elle.
Sauf que devant la porte de sa chambre d'hôpital, le foutu mari de mon ex, le si charmant avocat, tentant de m'empêcher de voir ma fille. J'crois pas non. Ça a gueulé un moment, on a bien failli se faire foutre dehors par les infirmières, mais j'ai quand même réussi à claquer son caquet au petit coq. Bref. De voir ma gamine, là, dans cette foutue chambre d'hôpital, j'ai pris conscience que j'comptais profiter d'elle autant que faire se peut, et que j'comptais bien qu'elle ai encore un père dont profiter dans les années à venir. Les résolutions, ça a le mérite d'être radical. Ma fille a réussi là où toutes les cures avaient échoué. Du jour au lendemain, j'ai plus jamais touché à quelque drogue que ça soit, et si je bois encore quelques verres aujourd'hui, je suis plus que raisonnable sur ma consommation. Quand à la clope? J'me la réserve dans les moments de stress.

J'ai même repris le chemin de l'école. Réapprendre tout à zéro ou presque en matière de magie à l'âge de 27ans... comment dire qu'on apprend bien plus vite quand on est gosse, plus curieux, moins buté et moins bousillé par la vie que quand on a presque trois décennies derrière soi. J'ai pris l'habitude de m’éclipser pour rendre visite à ma fille, guettant l'instant où ses pouvoirs se réveilleront, s'ils se réveillent un jour, pour l'entrainer à ma suite dans mon monde, bien sur contre l'avis de sa mère, et j'ai même réussi à reprendre contact avec mon demi-frère, bien qu'il soupçonne un peu trop à mon gout ma réelle nature. Qui trahirait-il? Son frère ou sa patrie? J'avoue ne pas avoir la réponse.

A l'institut, je ne trouve rien de plus rébarbatif que les cours. Surtout que je n'y comprend rien, que je n'y arrive pas, et que décidément, ma magie ne souhaite n'en faire qu'à sa tête. S'il n'y avait que moi, je vivrais H24 avec un bloqueur de pouvoirs autour du poignet, seulement, dans cette guerre qui est à présent la notre, je me dois d'être en capacité de défendre mes enfants le moment venu.

Ah oui, y a deux mois, un autre truc m'est tombé dessus. Une ex, du bahu et de presque quinze ans ma cadette, oui, j'ai fait fort sur ce coup..., de l'an dernier ou un peu plus, ok, la seule avec qui ça a duré plus de quinze jours l'an passé, a débarqué chez moi avec un gosse dans les bras. Mon gosse, d'après elle. Un avec lequel je ne compte pas faire les mêmes conneries que j'ai fait avec ma première fille. Même si chacun chez soi, c'est les meilleures relations qui soient. Tant qu'on reste en bons termes et que je peux voir mon fils à peu près quand je le veux... j'irai pas le priver de sa mère juste pour l'avoir avec moi h24...
Enfin, elle et moi sommes restés en bons termes. Très bons même. Non, on n'est jamais ressorti ensemble, mais on est là l'un pour l'autre. Et si je dois être honnête, je ne m'endors jamais aussi bien que dans ses bras. Croyez que c'est ce qu'on appelle l'amour? Nan, l'amour n'existe que dans les contes de fées, et même si les fées existent, leurs contes eux ne sont que histoires pour les gosses.

Bref, plutôt que d'occuper mon temps libre à ne rien faire, j'ai décidé de me rendre utile. Si je suis parfois d'une maladresse infinie, me tapant trois fois sur le pouce avant de viser le clou avec le marteau, je suis assez manuel, et la bricole en général, j'adore ça. Y a qu'à voir ce que j'ai fait de mon coin de la piaule, habilement séparé des autres par un rideau qui tombe de temps en temps, et dans un bordel complet tel que je suis le seul à me retrouver dans la brocante que forment mes chineries. Mais demandez moi de retrouver n'importe quoi, je le retrouve. Tout ça pour dire que j'ai offert mes services, quand cela reste dans mes cordes. Plomberie, électricité, montage de clotûre pour le mini poulailler des mini pouces de CP... j'suis un autodidacte qui ne sait jamais où il va mais finit toujours quelque part.

Mes objectifs de cette année? Ne pas blesser quelqu'un avec ma magie totalement défaillante et heureusement quasi absente, ne pas finir au poste pour une connerie aussi débile qu'une bagarre en plein centre ville, et être capable de réunir les différentes parties de ma famille pour Noël... ce qui est loin d'être fait, étant donné que cela forcerait certaines personnes à m'adresser la parole...
Ah, accessoirement, rester vivant jusque Noël, ça m'arrangerait pas mal aussi.

♪ Pseudo/prénom NathanAbraxas
♪ âge 24ans
♪ Présence 4/7
♪ tu nous as trouvés comment ? partenaire de partenaire de... je sais plus, un moment que je me dit "non, t'as trop de fos"
♪ Une dose d'amour ?