Aberama Gold

Haha, ça c'est pour Peaky

Richard et moi étions à des années lumières des retrouvailles que j’avais parfois espérées. Tout dans son regard et sa voix était reproche. Il m’en voulait de ne pas l’avoir aidé avec ses pouvoirs. De ne pas lui avoir dit ce qu’il était. Ne comprenait-il donc pas que je ne pouvais pas l’aider car j’ignorais qu’il était en vie ? Lorsqu’il m’avoua avoir envoyé une lettre à cette pimbèche d’Anne de Mowbray je sentis un pique de jalousie envers cette femme. Comptait-elle plus que moi à ses yeux ? Mais cela se résorba lorsque je songeais à son assassinat par des brigands
Mon fils  me confirma  ensuite qu’il avait adopté Hope. Etait elle humaine, néphilim ou autre chose ? Il ne me le précisa pas. Il n’avait pas confiance en moi pour me raconter les histoires de sa nouvelle famille.  Je jouais néanmoins avec le lien qu’il avait développé  envers Hope pour lui demander s’il n’était pas près à l’abandonner pour la sauver.
 « Je ne dis pas le contraire, confirma Richard.  Mais je ferais tout pour la retrouver après cela. La seule personne qui aurait pu m’aider hormis toi, c’était Elisabeth. Mais me voir loin de la cour était meilleur pour elle. »
Je soupirais d’un ton las. Selon lui, je ne comprenais pas. Je ne prétendais pas tout connaitre de sa vie et des souffrances aux quelles il avait du faire fasse. Mais il ne comprenait pas non plus ce que je lui racontais.
« Richard ! Quand finiras-tu par comprendre que je t’ai cru mort ! Comment aurais-je pu croire que Lizzie me mentait ? Je t’ai déjà dit que j’ai passé chaque instant de mon existence à te chercher une fois que j’ai su que tu étais en vie...Mais tu n’as même pas daigné croire la personne qui t’a raconté que j’étais en vie…La réalité est que bien que tu sois tout pour moi...je ne suis rien pour toi !  »
Je reculais pour me détourner de lui afin de me rapprocher de la fenêtre que j’ouvris en vitesse. Richard avait fait de même quelques instants au paravent, sans doute pour la même raison. J’avais besoin d’air pour me calmer. La rage, la jalousie et la haine  et les regrets se mélangeaient dans mon esprit. Une fois que j’eu aspiré un grand bol d’air, je me retournais de nouveau vers mon fils.
« Si vraiment tu avais besoin d’aide. Pourquoi avoir envoyé une rose à ta femme plutôt qu’à celle qui aurait put t’aider ? »
Je refermais la fenêtre. Je n’avais pas pris assez d’air, mais celui qui rentrait dans le loft était glacial. Au lieu d’attendre qu’il ne me réponde, je le fis à sa place.

« Sûrement parce que tu me pensais morte, devinais-je. Pendant  des siècles nous avons tous les deux crus que l’autre était mort. Je n’y peu rien comme tu n’y peux rien. Alors ne me reproche pas toutes ces années que tu as vécu dans le flou le plus total. »Richard et moi étions à des années lumières des retrouvailles que j’avais parfois espérées. Tout dans son regard et sa voix était reproche. Il m’en voulait de ne pas l’avoir aidé avec ses pouvoirs. De ne pas lui avoir dit ce qu’il était. Ne comprenait-il donc pas que je ne pouvais pas l’aider car j’ignorais qu’il était en vie ? Lorsqu’il m’avoua avoir envoyé une lettre à cette pimbèche d’Anne de Mowbray je sentis un pique de jalousie envers cette femme. Comptait-elle plus que moi à ses yeux ? Mais cela se résorba lorsque je songeais à son assassinat par des brigands
Mon fils  me confirma  ensuite qu’il avait adopté Hope. Etait elle humaine, néphilim ou autre chose ? Il ne me le précisa pas. Il n’avait pas confiance en moi pour me raconter les histoires de sa nouvelle famille.  Je jouais néanmoins avec le lien qu’il avait développé  envers Hope pour lui demander s’il n’était pas près à l’abandonner pour la sauver.
 « Je ne dis pas le contraire, confirma Richard.  Mais je ferais tout pour la retrouver après cela. La seule personne qui aurait pu m’aider hormis toi, c’était Elisabeth. Mais me voir loin de la cour était meilleur pour elle. »
Je soupirais d’un ton las. Selon lui, je ne comprenais pas. Je ne prétendais pas tout connaitre de sa vie et des souffrances aux quelles il avait du faire fasse. Mais il ne comprenait pas non plus ce que je lui racontais.
« Richard ! Quand finiras-tu par comprendre que je t’ai cru mort ! Comment aurais-je pu croire que Lizzie me mentait ? Je t’ai déjà dit que j’ai passé chaque instant de mon existence à te chercher une fois que j’ai su que tu étais en vie...Mais tu n’as même pas daigné croire la personne qui t’a raconté que j’étais en vie…La réalité est que bien que tu sois tout pour moi...je ne suis rien pour toi !  »
Je reculais pour me détourner de lui afin de me rapprocher de la fenêtre que j’ouvris en vitesse. Richard avait fait de même quelques instants au paravent, sans doute pour la même raison. J’avais besoin d’air pour me calmer. La rage, la jalousie et la haine  et les regrets se mélangeaient dans mon esprit. Une fois que j’eu aspiré un grand bol d’air, je me retournais de nouveau vers mon fils.
« Si vraiment tu avais besoin d’aide. Pourquoi avoir envoyé une rose à ta femme plutôt qu’à celle qui aurait put t’aider ? »
Je refermais la fenêtre. Je n’avais pas pris assez d’air, mais celui qui rentrait dans le loft était glacial. Au lieu d’attendre qu’il ne me réponde, je le fis à sa place.
« Sûrement parce que tu me pensais morte, devinais-je. Pendant  des siècles nous avons tous les deux crus que l’autre était mort. Je n’y peu rien comme tu n’y peux rien. Alors ne me reproche pas toutes ces années que tu as vécu dans le flou le plus total. »

La néphilim se connaissait par cœur. Ce n’était pas pour rien qu’elle avait un self contrôle que personne ne pouvait égaler à l’Institut. Etait-ce à cause de tout ce qu’elle avait vécu et de la tonne de secrets qu’elle cachait ? Il y avait sûrement des deux. Mais Sofia avait particulièrement du mal à s’entendre avec cet homme. Elle l’avait fait venir pour une raison à l’Institut, c’était pour ses pouvoirs. Mais actuellement, le voir déguerpir serait la meilleure chose pour elle et son agacement. Elle l’écouta encore parler et parler, se plaindre toujours se plaindre. Cet homme était un véritable gamin ambulant qui ne savait rien contrôler de ce qu’il était.

- « Vous êtes un danger pour les êtres magiques. Voilà pourquoi vous êtes ici. Enfermé ou pas, vous êtes bien trop dangereux pour la sécurité de ce que l’on est. » lâcha Sofia avec un air hautain.

Elle était souvent comme cela avec les personnes qu’elle n’appréciait pas. Puis il fallait avouer que de tout le personnel, seul ce Mu était infernal et n’avait aucun respect. Pour Sofia, si les Mu disparaissait définitivement, ce serait uniquement à cause de cet homme. Il serait la perte de sa race et famille.
Il reprit en parlant de son fils et Sofia haussa les sourcils, exaspérée de toutes ses provocations. Elle était tentée d’utiliser ses pouvoirs, mais elle ne le pouvait pas. Elle ne le devait pas.
Au final, elle l’écoutait sans l’écouter. Elle avait l’impression d’entendre un moulin à paroles mais qu’elle ne voulait pas comprendre. Elle attendit qu’il est finit son discours et le regarda à nouveau dans les yeux.

- « Très bien. Votre décision est prise à ce que je vois. Peu importe. » lâcha la néphilim avant de tourner les talons et de sortir en claquant la porte.

Plus qu’une seule option pour se défouler à présent : la salle d’entrainement des chasseurs. Elle s’y téléporta sans problème et se retrouva dans son bureau, se changeant avant d’aller frapper dans un punchingball.

https://www.leconteur.fr/histoires/fictions/356-institut_chevalier-1

Je lis *-*

Ha ha Mollinette est interessée seulement si ça lui apporte quelque chose . 
 ????

Melia pouvait jouer de cet homme pour qu’il ne dise rien. Qu’il la laisse partir. Après tout, elle n’en était pas à son coup d’essai et savait parfaitement comment faire pour le manipuler. Elle avait peut-être que 25 ans, mais elle était une charmeuse hors pair. Elle hésita un instant. L’odeur de cet homme montrait qu’il courrait lui aussi avant de la repérer. Mais elle ne savait pas si c’était sous forme lupine ou sous forme humaine. Dans le fond, elle le trouvait plutôt pas mal et sûrement qu’il devait être bien bâtie au vue de sa carrure.
Il lui donna son nom et la jeune femme comprit qu’il ne la connaissait pas. Était-il un ermite ? N’importe qui connaissait le nom de famille Romanova, que l’on soit dans l’Institut ou non. Elle baissa la tête sur le côté pour essayer de comprendre cet homme mais elle devait se rendre à l’évidence, elle ne saurait rien.

- « Je connais quelques gardes qui me laissent passer quand j’ai besoin de courir. » expliqua-t-elle-même si ce n’était qu’un semblant de vérité. « Votre alpha, Nick Stark, est comme mon père, il sait que je passe du temps ici. »

Bon ce n’était pas totalement vrai mais disons qu’il avait conscience qu’elle venait. Elle écouta l’homme et elle eut l’impression d’être n’importe qui. Elle se sentit presque offusquée de cela. Elle le regarda un peu de travers.

- « Vous avez une vie en dehors de votre boulot ? Je veux dire, une vie sociale, des amis… » ne put-elle s’empêcher de demander.

C’était hilarant tout de même cette situation ! Melia venait de se faire prendre et elle demandait à cette homme s’il avait une vie en dehors de garder l’Institut ? Elle ne pouvait s’empêcher de se poser pleins de questions à propos de cet homme et elle s’approcha un peu de lui, ignorant le danger qu’elle pouvait courir.

- « Vous n’êtes jamais aller à l’Addiction ? Au Bar-et-vous ? Ou encore au Golden Cat ? » demanda Melia sans réfléchir à ce qu’elle disait.

Au cœur dans un champ de blé, il y avait des souris des champs qui mangeaient des grains de maïs. La grande question était donc... mais qu'est ce que ces grains de maïs faisaient là. Les souris en étaient friandes, ça ce voyait. Une petite grignotait un jambon énorme pris à un fermier pendant qu'il était en train de le fumer. Un énorme orage violet a éclaté inondant le champ sous un mètre d'eau. Les petites souris des champs n'ont pas eu le temps de tout mettre en réserve avant que l'eau emporte leur provisions et elles se sont retrouvé avec de la purée de blé ! Cependant, l'une d'elles étant allergique au blé, elles durent partir en voyage pour lui trouver à manger. Elles partirent donc à Rock-Fort, la ville voisine, où elles rencontrèrent en arrivant quelqu'un qui leur proposa de la cam en barre pour pas trop cher... Mais elles n'aimaient pas vraiment ça, préférant le gouda roulé. Elles trouvèrent un joli appartement avec un papier peint bleu à motif gruyère. Mais le problème c'est qu'elles ne purent se retenir de le manger, ce qui leur provoqua des maux de ventre horribles durant tout un week-end. Heureusement qu'elles avaient du désodorisant pour les mauvaises odeurs ! Mais malgré ça les toilettes étaient bouchées, les obligeant à contacter un plombier de toute urgence... Ce dernier était un renard qui voulait les manger toute crues, mais elles ne sentaient pas vraiment la rose alors il fut raisonnable et ne tenta rien qu'il aurait pu regretter. Il déboucha les toilettes et partit sans demander son reste. Leurs intestins aussi intacts que leurs toilettes, les souris décidèrent de faire la fête. Mais c'est alors que le véritable propriétaire de la maison débarqua ! Il s'agissait d'une poule. Furieuse contre les souris, elle pondit une centaine d’œufs en l'espace d'une seconde et le leur balança dessus pour les chasser. Mais l'un d'eux éclot et un petit être en sortie. Ce n'était pas un poussin mais c'était un nugget vivant ! Il était sorti si vite du troufion de sa maman poule qu'il avait cuit aussi bien que s'il avait été trempé dans de l'huile bouillante.

Melia n’y croyait. Elle n’avait jamais pensé qu’un jour Mollie lui proposerait de l’accompagner dans un rêve. Melia était le genre de fille à toujours saisir sa chance mais elle n’avait jamais demandé à Mollie de l’accompagner, préférant attendre qu’elle lui proposer. Son mentor lui expliqua qu’elle ne devait pas la quitter au risque de se perdre dans le monde onirique. Elle devait la suivre et écouter la moindre consigne au risque de se mettre en danger. Elle acquiesça aux consignes et écouta la question de son mentor.
Melia prit le temps de réfléchir un peu puis trouva une idée.

- « Les bâtiments du centre de Lyon sont assez vieux, il ne serait pas étonné qu’une fuite de gaz ou de l’amiante est pu être à l’origine de ces incendies. » expliqua-t-elle.

Mollie la regarda un instant puis demanda de s’allonger sur le lit. Elle s’exécuta et laissa Mollie l’endormir avant d’arriver dans un désert ? Melia tourna sur elle-même, cherchant son mentor puis elle tourna sur elle-même avant de voir Mollie à ses côtés. L’expérience était vraiment incroyable et la vampire était impressionner par tout ça. Elle sourit de toutes ses dents quand l’ancienne reine lui souhaita la bienvenue puis elles partirent à la recherche de Robert.

Malgré le fait qu’il s’agissait d’un rêve, marcher dans les dunes n’était pas aussi simple que cela pouvait paraître. D’ailleurs Melia s’enfonça un peu mais elle gardait toujours un œil sur son mentor. Elle ne devait pas la perdre de vue.
Melia écouta la néphilim et regarde le trou se former et sourit, avant de prendre la main de Mollie, elle sourit puis la suivit dans le trou.

- « La ressemblance ets tout de même bluffante… » lâcha Melia.

Elle reconnaissait les rues dans lesquelles elles se trouvaient. Mais elle aimait ce sentiment étrange de pouvoir qui lui parcourrait le corps. Elle regarda Mollie avant de lui demander.

- « Ma présence ne va-t-elle pas être étrange pour Robert ? » demanda la vampire.

Nom du personnage :
Lieu souhaité : []Forêt des elfes []Alentours du lac []Montagnes []Villages []Souterrains []Catacombes []Bas fonds de Lyon []Un autre endroit, mais où les humains 'normaux' ont un risque de me voir (parce que c'est plus fun comme ça ! )
Type de quête : []découverte []combat []lié à une intrigue []liée au contexte
Possibilité de blesser vos personnages : []oui []non
J'ai déjà gagné un pouvoir au cours de ce mois IRL : []oui []non