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Fenrir & Sofia/guenièvre

L'an 592 – le prélude de la guerre, près d'avalon

Fenrir avait fuit pendant x nombre de temps, sa forme de louve l'aidait à maintenir une rythme de vie qu'elle appréciait énormément, depuis qu'elle avait découvert qu'elle pouvait prendre une autre forme d'apparence de loup. Fenrir se trouvait à présent au abord de la grande-Bretagne, elle ne cessait de surveiller les hommes qui osait s'approcher de trop près de son habitat, elle redoutait encore avoir affaire à des chasseurs. Elle ce souvient parfaitement cet époque où elle tenté de ce soustraire à travers la population, lorsqu'elle avait prit domicile en France, mais sa condition de louve n'avait fait que mettre son secret et ses mensonges en péril.

D'après les indication près des routes et lorsqu'elle pouvait se permettre d'entendre les passant parler, elle se trouvait près d'un royaume appeler avalon, elle n'en avait pas vraiment conscience. Fenrir est loin d'être du genre à se mêler dans le monde des hommes, pas avec les influences imprévisible que la lune avait sur elle, évidemment elle commençait à savoir le contrôler. Fenrir avait entendu parler de l'union du roi de ce royaume et de la futur reine, des rumeurs courrait aussi au sujet d'une possible guerre, mais Fenrir s'en fichait éperdument. Évidemment cela la conduisit près du château, elle avait prise temporairement son apparence humaine, avec de nouveau vêtement qu'elle avait mise dans la forêt, elle se devait de manger quelque chose avant la suite de son voyage.

Comme dans toute les histoires, il y a les moutons, Fenrir avait développé un bon goût pour les jeune moutons, dès qu'elle fit irruption au marché, certain s'affolèrent en la voyant, ils devaient avoir ressenti donc aura. Fenrir ne prêta aucunement attention, elle prit la direction de la forêt, par chance les gens ne la remarqua pas, heureusement pour elle, sinon elle allait devoir les faire taire. La nuit tomba rapidement entre les arbres, fenrir venait de terminer son repas, toujours sous sa forme de louve, on pouvait ressentir le bruit qu'elle fit au sol.