Pouvoirs liés à sa race:
Médium N3. C’est celui que je contrôle le mieux. Il s’est déclenché lorsque j’avais une dizaine d’années. J’en en effet vu avec quelques semaines d’avance un meurtre se commettre chez des humaines athéniens.

Larmes de sang N3. La première fois que du sang a coulé de mes yeux, est lorsque le crime que j’avais vu avec mon don de médium a été commis. Je ne contrôle pas ce “pouvoir”, car cela ne dépend pas de moi. Mais j’ai appris à faire avec et à l’utiliser à bon escient.

Ailes magiques N3 : Elles ont poussé pour la première fois quand j’avais 14 ans. Déjà très discret, et malgré le fait que ce soit normal pour ceux de mon espèce, je n’en ai parlé à personne dans un premier temps.

Cheveux Serpents N3 : J’avais 15 ans quand pour la première fois, mes cheveux se sont transformés en serpents. Cela m’a effrayé pendant un temps, mais j’arrive à les contrôler depuis mes 17 ans.

Griffes d’acier N3: Mes doigts se sont transformés en griffes, quand j’avais 11 ans.


Mort Subite : Jamais utilisé


Pouvoirs passifs

Télékinésie | Présence: 60% | Contrôle : Bon
Linguisme | Présence: 85% | Contrôle :  Très bon
Apprentissage accéléré | Présence: 40% | Contrôle : Moyen
Résistance | Présence: 70% | Contrôle : Très bon
Perception | Présence: 43% | Contrôle : Moyen
Vision améliorée | Présence: 05% | Contrôle : Mauvais
Empathie | Présence: 90% | Contrôle : Très bon


N'oubliez pas de remplir le tableau des pouvoirs passifs ici et de le copier dans votre bio.

Tout le monde vous le dira, je suis quelqu’un de très protecteur. Cela a commencé avec ma petite sœur. On me raconte souvent que dès sa naissance je regardais d’un air méfiant tous ceux qui s’approchaient d’elle. Aujourd’hui, je la protège encore, mais j’exerce également cela auprès de mes jeunes élèves. J’ai également avec eux un instinct très paternel.



J'ai de la peine de voir Keyla obligée d'endosser un rôle qu'elle ne désire pas.  Si les traditions des Euménides me le permettaient, je pense que j’accepterais de prendre ce rôle afin que ma sœur puisse jouir de la vie dont elle rêve. Ceci est un exemple de mon héroïsme et de mon altruisme constant. Je prends également mon rôle de conseiller de ma soeur très au sérieux, et je suis dévoué à la cause des euménides.


Parce que mon peuple s’était rangé du côté des Light Fey et que j’avais rencontré Serhan, je me suis battu avec un certain héroïsme contre les membres de la cours de ténèbres. Jusqu’au jour où, tel le héros qui porte mon nom, j’ai été grièvement blessé à la clavicule à cause d’un sort. J’ai été soigné, mais depuis, je ressens régulièrement une vive douleur à l’épaule et au cou.

Malgré mon métier qui consiste à être toujours entouré de monde et mon altruisme, je suis quelqu’un d’assez solitaire et presque timide. En plus de préparer mes cours  lorsque que suis seul, j’ai une réelle passion pour la cuisine. J’aime rendre visite à Mitrone et lui proposer mon aide.


Pour terminer, je suis quelqu'un de très soigneux qui passe son temps à laver ce qu'il y a autour de moi. Hormis avec certaines personnes, j'évite au maximum le contacts physique avec les êtres humains.

 

 
Je suis né il y a 34 ans au sein de l’une des principales familles d’Euménides. Premier enfant de l’héritière de la lignée de celle que l’on surnommait l'implacable, ma naissance fut accueillie avec joie mais aussi étonnement et questionnement. Non pas qu’une Euménides enfante difficilement, mais parce que j’étais le premier mâle à naître au sein de cette lignée depuis de nombreuses générations. Contrairement à ce qui se serait passé si j’étais né dans l’une des nombreuses familles royales humaine privilégiant plutôt les héritiers male, là, on se demanda ce qui pourrait se passer si ma mère ne mettait pas au monde une fille. L’une de mes cousines serait-elle héritière ? Ou l’éventuelle fille que je pourrais avoir à l'âge adulte ? A moins que l’on fasse de moi le premier roi Euménide ?


Pour soulager tous ceux qui s'inquiétaient, ma mère mit au monde une fille trois ans après ma naissance. Déjà très protecteur, j’eu parfois du mal à laisser les membres de ma famille, tout excités à l’idée de voir enfin l’héritière, s’approcher de Keyla. L’amour fraternel que j’éprouvais alors pour ma sœur dès sa naissance ne diminua pas au fil des années. Je grandis avec elle et nos cousines en restant ce grand frère protecteur prenant sans arrêts la défense de sa sœur, même lorsqu’elle était en tort.


A dix ans, je quittais la Grèce et ma famille pour rejoindre la France et l’Institut Chevalier afin que l’on m’enseigne les pouvoirs qui commençaient à se développer logiquement en moi. J’avais en effet vu un meurtre se produire avec plusieurs semaines d’avance et du sang avait coulé de mes yeux pour confirmer que ma vision était bien liée à mon don de médium. Me séparer de ma sœur fut difficile, et pendant plusieurs mois, je m’enfermais dans un véritable mutisme, dont mes professeurs parvinrent difficilement à me faire sortir. C’est en fait surtout la cuisinière Mitrone qui réussit à me faire retrouver définitivement la parole en m'apprenant à cuisiner quelques soirs après mes cours. Mais je restais un élève discret et un peu souvent seul dans son coin. J’avais des résultats scolaires corrects sans être excellents et quelques copains ou copines sans avoir vraiment d’amis. Mes cousines Euménides également présentes à l’Institut passaient du temps avec moi, mais elles préféraient souvent rester avec les amies qu’elles s’étaient faites en classe. L’arrivée de Keyla à Lyon fut un réel soulagement pour moi. Continuant d’être solitaire malgré tout, je me mis à sourire plus souvent et mes résultats scolaires s’améliorèrent considérablement. De nouveau, je devins ce frère protecteur qui veillait sur sa sœur quand elle subit les métamorphoses physiques que j’avais subit à son âge.



Lorsque je terminais mon premier cycle de scolarité à l’Institut et qu’arriva pour moi le temps de faire un choix sur mon orientation, je pensais dans un premier temps à devenir cuisinier. J’avais adoré tous ces moments avec Mitrone et je savais que la pauvre femme était souvent débordée. Mais quand Keyla quitta l’Institut pour que notre mère la forme plus spécifiquement aux pouvoirs liés à notre race, je réalisais ce que j’avais toujours sût. Je devais avant tout servir les Euménides.


Alors que ma mère veillait sur ma sœur et lui enseignait ses pouvoirs, notre souveraine ma grand-mère m’envoya en mission à Lyon. Mon rôle était de représenter notre famille auprès de Serhan et la cour des Light Feys. J’y séjournais pendant un an et le souverain de la cour m’apporta quelques conseils. Je fis également la connaissance d’une Druide nommée Daphnée, avec qui j’entamai une relation. La jeune femme étant déjà mère d’une petite fille, Lina et ayant la garde de son petit frère Gaspard, je découvris que j’avais un talent caché. J’avais en effet un très bon instinct paternel auprès des plus jeunes. De retour en Grèce aux côtés de Daphnée et de ses proches, ma famille m’accompagna pour me former au rôle qui allait être le mien dans les prochaines années. Je ne serais pas seulement le protecteur de Keyla, mais aussi son conseiller principal. Aimant également travailler auprès des plus jeunes, je suivais aussi une formation d’instituteur.


Lorsque la guerre des cours débuta, je pris la décision de me battre pour les Light Feys. La guerre, comme toutes les autres, apporta son lot de deuil et de malheurs. C’est d’abord ma mère qui périt, rapprochant encore un peu plus Keyla du trône de l’Implacable. Puis ce fut Daphnée qui fut tuée par une sirène, et enfin, je reçus un puissant sortilège d’Energy blast à la clavicule qui me fit perdre l’usage de mon bras. Bien que je me sois battu pour les Light Feys et que l’Institut soit du côté des Dark Feys, c’est au sein de l'hôpital de l’établissement que l’on me soigna. Cela dura plusieurs semaines avant que je parvienne à bouger mon bras, et encore aujourd’hui, je ressens les séquelles de ce sort. C’est là-bas que j’appris la mort de Serhan, mettant fin à la guerre.


Malgré le fait que Keyla ait choisi de travailler à l’Institut, je préférais rentrer en Grèce après ma convalescence. Bien que nous ne nous fussions jamais mariés tous les deux, on me confia la garde du frère et de la fille de Daphnée et j’obtins également un poste d'instituteur chez des humains. Pendant ces années, je continuais cependant à veiller sur Keyla et à apprendre à la conseiller comme il se doit. Je passais donc beaucoup de moments avec notre Grand-Mère, qui malgré sa rigidité et sa sévérité, faisait parfois preuve d’humanisme en ma présence.

Dernièrement, le fait que Gaspard atteigne sa majorité et que la grand-mère de Lina récupère la garde de sa petite fille m’a profondément chamboulé. Alors, quand Keyla est rentrée de Lyon pour assurer son statut d’héritière, j’ai essayé de la convaincre de rester et d’abandonner définitivement son poste d’assistante de Direction à l’Institut. Mais cela n’a pas suffi, alors quand elle a décidé de repartir sur Lyon, je l’ai suivie pour continuer à la conseiller et à la protéger.