Salut à toi, je m'appelle Giulia de Medici mais tout le monde me surnomme Ju' et je suis né(e) le 13 janvier 1991, à Florence en Italie. Si tu sais compter j'ai donc 28 ans. Aujourd'hui, je travaille en tant que Chasseuse Confirmée dans la brigade d'élite. Tu veux savoir un secret ? Dans la vie je suis bisexuelle et je suis actuellement célibataire. Oh, et surtout n'oublie pas que je suis une nécromancienne. Pour terminer ma principale phobie est Les abeilles

Télékinésie | Présence: 83% | Contrôle : Très bon
Linguisme | Présence: 75% | Contrôle :  Bon
Apprentissage accéléré | Présence:68% | Contrôle : Moyen
Résistance | Présence: 98% | Contrôle : Très bon
Perception | Présence: 95% | Contrôle : bon
Vision améliorée | Présence: 91% | Contrôle : Moyen
Empathie | Présence: 2% | Contrôle : Nul

Le premier pouvoir a être apparu chez Giulia est le pouvoir d’Energy Blast. C’est aussi celui qu’elle a eu le plus de mal à maitriser. Elle n’avait que huit ans lorsqu’elle a fait exploser la fenêtre de sa chambre, manquant de révéler l’existence de la magie à des mortels. Et, à onze ans, elle a envoyé une boule d’énergie dans une boutique de chaussures. C’est à cause de ça que ses parents l’ont envoyée à l’Institut Chevalier. Aujourd’hui encore, c’est le pouvoir dont elle est le plus susceptible de perdre le contrôle.

Sont arrivés ensuite presque en même temps le spiritisme et la psychopompe. Non seulement Giulia voit les fantômes, mais elle est aussi un portail géant qui leur permet de traverser et d’aller dans l’au-delà. C’est un processus douloureux, car à chaque âme qui passe au travers d’elle, elle ressent sa mort. Giulia a longtemps fuit les fantômes pour cette raison, jusqu’à ce qu’elle découvre son pouvoir suivant : l’appel des morts. Le premier fantôme qu’elle a appelé était celui d’un nécroman très ancien, un roi du passé totalement oublié. C’est lui qui lui a fait comprendre à quel point ce pouvoir était important, et à quel point passer dans l’au-delà pouvait être indispensable pour les fantômes. Giulia n’a donc pas eu de choix : elle est un portail pour fantômes et elle devait l’assumer. L’enfant a donc fait la seule chose qui lui semblait possible : elle s’est fermée aux émotions, bloquant son empathie pour ne plus rien ressentir lorsqu’un fantôme la traverse.

Le pouvoir suivant qui est arrivé a été celui de passe partout. Passer au travers des murs est vite devenu une drogue pour elle. Elle adore ça, et elle traverse tout ce qu’elle peut, tout le temps. Son style de combat a l’épée est beaucoup inspiré de ce pouvoir et lui permet de passer au travers de l’épée de son adversaire pour lui assener un coup fatal sans en prendre un elle-même.

Et enfin, elle a découvert, une fois arrivée à l’Institut, la nécromancie.

Giulia est une demoiselle grande, très fine et presque sans formes. Elle porte ses cheveux longs, qu'elle aime changer de couleur. Son principal atout séduction, ce sont ses yeux d'un bleu pénétrant.
Elle a un tatouage en bas du ventre, qui descend sur ses organes génitaux : une rose rouge. Elle se l'est fait faire en arrivant en France, simplement pour se sentir libérée du joug de ses parents. Elle s'est fait percer le cartilage des oreilles : elle a cinq trous à droite et trois à gauche. Sa langue est elle aussi percée, de même que son nombril.
Elle compte se faire un second tatouage sur la nuque, et un troisième autour du nombril.
Elle n'a pas de cicatrices particulières, ni de signes distinctifs.

Giulia est une demoiselle déterminée. Quand elle veut quelque chose, elle l'obtient. La demoiselle a aussi un esprit de compétition développé par des années de pratique de la natation. Elle a un énorme coeur d'or, certainement du à son empathie, et elle l'utilise très souvent. Giulia est aussi patiente, souriante, amusante, elle sait s'adapter. elle a souvent un petit coté garçon manqué qui lui vaut beaucoup plus d'amis hommes que femmes. Elle est le genre de personne qui a un humour très marqué, et qui n’hésite pas à l’utiliser au pire moment. Vous voyez cette situation bien complexe où vous êtes deux contre cinq démons de deux mètres, qu’il n’y a pas l’air d’y avoir la moindre porte de sortie ? Bah c’est généralement le moment où Giulia se décidera à faire une blague débile. C’est sa façon de dédramatiser les choses, mais ça a tendance à être totalement incongru... et parfois même un peu énervant.

Commençons par un petit peu d’histoire. Les premiers Medicis, ceux qui ont créé la longue lignée qui est aujourd’hui connue même des moldus étaient des phoenix. Suite à la destruction – ou presque – de la race des phoenix par Lilith en 1450-et-quelques, les phoenix ont tous pris la fuite ou presque. Cependant, comme une famille ne peut pas disparaitre du jour au lendemain sans attirer un peu l’attention, les « pièces rapportées » de la famille ont repris le contrôle, et en une nuit tout avait changé. Giulia descend de la nouvelle dirigeante de la famille Medici, celle qui a remplacé les Phoenix, une princesse nécromancienne, qui s’est presque immédiatement remariée... Et la ligné a tout simplement continué jusqu’à Giulia, même si aujourd’hui, ni dans le monde des mortels, ni dans le monde magique, les Medicis ne sont plus des rois et des reines. Simplement une famille random de la noblesse, comme les autres.

Giulia a grandi en Italie, à Florence, dans l’une des grandes maisons appartenant à sa famille. Son enfance a été rose, heureuse, et parfaitement normale. Elle n’a jamais eu à cacher ses dons naissants, car le personnel travaillant pour sa famille était, lui aussi, d’origine magique. Bref, tout allait pour le mieux, et Giulia avait des tuteurs privés pour lui enseigner tout ce dont elle aurait besoin : la danse, l’art de l’escrime, plusieurs langues, dont le français qui est la langue internationale magique et l’anglais pour être comprise par les mortels, bref : tout ce dont une noble fey a besoin. A plusieurs reprise, ses tuteurs ont proposé à sa famille de l’envoyer étudier à l’Institut Chevalier, mais ceux-ci ont refusé. A l’époque, la situation de l’Institut était instable, et il se faisait attaquer de manière bien trop régulière. Il a fallu que la petite Giulia, alors âgée de 11 ans, fasse exploser une Energy Blast en plein milieu d’un magasin de chaussures pour que ses parents se décident à l’envoyer là bas.

Autant dire qu’après une vie à être la petite princesse de sa famille, et à avoir des serviteurs, le choc a été rude pour Giulia. Il lui a fallu plusieurs mois pour s’habituer à faire sa lessive elle-même, à ranger sa chambre pour que sa colocataire ne pète pas un plomb, ou à rester assise en classe sagement avec les autres, elle qui n’avait jamais été scolarisée au sens normal du terme. Pendant les trois premières années, Giulia ne vivait que pour rentrer en Italie pendant les vacances scolaires, pour retrouver ses tuteurs, ses cours privés et sa vie « normale ». Cela ne l’empêchait pas de s’adapter, bien sûr, se liant d’amitié avec pas mal de monde dans l’école, même si elle restait légèrement en retrait.

Le déclic a eu lieu lorsqu’elle a commencé à réellement appréhender ses pouvoirs en cours, une fois ceux-ci stabilisés. Si ses pouvoirs faisaient peur aux autres, ils la fascinaient tout simplement. L’étudiante un peu dissipée a commencé à voir le bon côté de ces études dans une école, et elle a commencé à réellement s’intéresser à ce nouveau monde, et à ses études en général. Des moins bonnes étudiantes, elle est devenue l’une des meilleures, et elle a commencé à ajouter des activités extrascolaires en club à son CV : notamment la natation, qu’elle a toujours adoré, l’escrime qui lui manquait et différents cours de combat au corps à corps et au couteau. Le jour de ses quinze ans, pour symboliser sa renaissance, elle faisait son premier tatouage (avec une fausse carte d’identité.)

S’en est suivit une année d’exploration de l’Institut et de Moonlacre, la nuit, quand personne ne la voyait. Elle a écumé les bars et les boites de nuit de Lyon et de la cité magique. Elle a rajouté au fil des années plusieurs piercings un peu partout sur son corps, ce qui lui vaut, à chaque fois qu’elle retourne en Italie voir sa famille, des remontrances de la part de ses parents.

Une fois son bac en poche, Giulia a postulé chez les Chasseurs, et elle y a été admise : ses notes excellentes, ainsi que sa passion pour les armes blanches ont été un facteur prédominant dans cette décision. Elle a été reçue première de sa promotion trois ans plus tard, et a réussi avec brio son entrainement terrain en deux ans. Voilà maintenant cinq ans qu’elle est une Chasseuse confirmée, et sa vie ne pourrait pas lui paraitre plus agréable, ça non.

Quoi ? Niveau cœur ? Oh, rien de très sérieux. Mademoiselle n’est jamais vraiment tombée amoureuse. Quelques amourettes, par ci par là. Beaucoup de plan-luxure, que ce soit avec des filles ou des garçons. Il semblerait qu’elle soit incapable de se fixer. Probablement parce qu’elle n’a pas encore rencontrée le bon. Ou la bonne. Qui sait ?

voir Luuka.