Akagi Yuifum
Informations
Salut à toi, je m'appelle Akagi « Marcus » Yuifum mais tout le monde me surnomme Yui et je suis né(e) le 3 aout 1995 , à Sapporo. Si tu sais compter j'ai donc 24 ans. Aujourd'hui, je travaille en tant que Etudiant en géométrie sacrée. Tu veux savoir un secret ? Dans la vie je suis bisexuel et je suis actuellement célibataire . Oh, et surtout n'oublie pas que je suis mi-kitsune, mi-sorcier. Pour terminer ma principale phobie est les champignons
Pouvoirs
Métamorphose complète en renard (kitsune) [niv.3] -> Premier pouvoir découvert lorsqu’il avait 5 ans. Sa famille étant constituée de Kistune du côté de sa mère, ce fut un soulagement pour tout le monde qu’il prenne une apparence de renard. Même s’il n’avait pas les multiples queues de son peuple.
Magnétisme [niv.2] -> Second pouvoir découvert, vers ses 8 ans. Un malheureux accident le mena à aspirer l’énergie de son chien préféré. Un véritable traumatisme pour lui.
Skiakinésie, ou maitrise des ombres [niv.2] -> Dans la logique, c’est son troisième, à l’anniversaire d’un de ses amis, il a fait tomber une fourchette à ses pieds, dans l’ombre. Et l’ustensile en question a disparu. Son ami l’a retrouvé une semaine plus tard, sous la commode du salon. Une petite anecdote amusante à raconter de temps en temps.
Aérokinésie [niv.1] -> Dernier pouvoir découvert, assez tardivement, juste après ses 16 ans. Un idiot s’amusait à le titiller en lui mettant le plat de champignons farcis sous le nez à la cantine. Il a volé dans une bourrasque, emportant sa chaise avec lui. Yui a bien eu une minute de bug en regardant l’autre sans comprendre d’où ça venait.
Télékinésie | Présence: 70% | Contrôle : Moyen
Linguisme | Présence: 50% | Contrôle : Très bon
Apprentissage accéléré | Présence: 30% | Contrôle : Correct
Résistance | Présence: 00% | Contrôle : Nul
Perception | Présence: 25% | Contrôle : Moyen
Vision améliorée | Présence: 60% | Contrôle : Bon
Empathie | Présence: 85% | Contrôle : Très bon
Caractère
Observateur Yui a cette tendance à rester stoïque au milieu d’une foule et à regarder chaque passant avec acuité. Parfois il est assez chiant même avec ses amis parce qu’il peut littéralement oblitérer une conversation tellement il sera concentré sur les gestes des gens. Un peu étourdi. Quand il se concentre sur une chose, parfois il oublie tout autour, y compris le reste de sa tête si on ne le lui rappelait pas. Résultat, il n’a pas été rare dans sa scolarité qu’on lui rappelle que lire le livre obligatoire c’était bien, mettre un pantalon c’était une bonne idée aussi. Susceptible, il l’est, malheureusement, il est assez sanguin quand on le titille sur les mauvais sujets. En tête de liste, sa phobie que tout le monde trouve ridicule (même lui, il faut l’admettre), sa famille, son perroquet déplumé qui le suit partout quand il oublie de fermer sa cage, sa tendance à se cogner aux coins de murs dans des couloirs parfaitement droits. Curieux, ça, il l’est vraiment beaucoup. On ne compte plus le nombre de fois qu’un professeur l’a repris à l’ordre parce qu’il voulait toucher les choses. Il aime manipuler, expérimenter avec ses mains. C’est un vrai emmerdeur, si vous avez le malheur de porter un nouveau vêtement avec un tissu particulier, une couture qui ressort ou quoi, vous êtes sûr que Yui voudra toucher. Taquin. Il adore lancer des piques aux gens. En général, s’il commence à se moquer de vous, à vous chercher le moindre petit défaut ou à vous envoyer des bêtises à la tête, c’est qu’il vous aime bien. Les autres, il les ignore. Bienveillant. Même s’il peut paraître moqueur, c’est une personne qui essaiera toujours de faire en sorte que tout le monde se sente bien, dans la mesure du possible. Un peu radin, on lui a appris à être économe dans son enfance, sa famille n’ayant jamais roulé sur l’or. Ceci étant, ce n’est même plus de l’économie à ce stade… On pourrait presque y voir un dragon allongé sur son tas de pièces parfois. Ne lui demandez jamais de vous prêter de l’argent où vous risquez de ne plus pouvoir faire un pas sans sentir son souffle de créancier dans le cou.
Biographie
Bonjour, je suis Yuifum. Un nom à coucher dehors, je sais. Mes amis me surnomme Yui, ma grand-mère, elle, m’appelait « Marcus ». Elle avait un délire avec les noms romains, elle surnommait aussi mon frère, mais lui c’était « Auguste ». En soit, elle nous avait bien cerné. Nous étions comme eux : rivaux mais semblables.
Mais reprenons depuis le début. Je suis né un soir d’été au crépuscule du XXème siècle. Je suis le premier enfant d’une fratrie de quatre, et le dernier en vie. Mais cette histoire est pour plus tard. Ma mère, Akagi Reiko, était une kitsune pure souche, elle a eu le malheur (ou le bonheur selon les points de vue) de tomber amoureuse de mon père, Satoru. J’ai vécu toute mon enfance à Hokkaido, dans la ville de Sapporo. Jusqu’à ce que mes parents m’envoient à l’Institut, dès l’éveil de mes premiers pouvoir. Mon premier petit frère s’appelait Isao, c’était lui, le « Auguste ». Il avait cinq ans de moins que moi et nous nous sommes peu connus en vérité. Juste le temps qu’une grande tendance aux défis fraternels et aux combats pour l’amour parental aient lieu. Sont nées ensuite Chifuyu et Kimi, que j’ai à peine eu le temps de prendre dans mes bras une fois. Des jumelles considérées comme une chance. Parfois je me demande si c’était vraiment le cas.
Nous avions vécu une vie tranquille, sans embrouille, discrète à cause de la magie de notre famille mais heureuse. Papa et maman travaillaient dur et c’était notre grand-mère qui s’occupait de moi – de nous ensuite. C’était un sacré numéro, grand-mère, on avait l’impression qu’elle avait absorbé tout les livres d’histoire du monde. Nous n’avions jamais de conte le soir mais des récits qui s’étaient réellement passés sur les peuples magiques et humains, leurs guerres et leurs réussites. Avec le recul je me dis que c’était peut-être un peu violent pour les enfants que nous étions. Ça ne semblait pas la déranger de raconter les batailles avec moults détails sur les morts, les blessures et les difficultés des guerriers. J’admets aussi qu’elle s’étendait souvent sur les découvertes scientifiques et magiques, les origines des peuples qu’elle connaissaient et la beauté de leurs cultures. C’était quelqu’un de très cultivé, et bavard. Je l’adorais. Elle sentait le savon, le charbon et la fourrure, parfois aussi l’huile à friture, surtout quand elle nous faisait des beignets de crevettes. C’était les meilleurs de la terre entière !
Ne vous y trompez pas, j’aimais aussi beaucoup mes parents. Mais il me reste bien peu de souvenirs d’eux, des images, des sons et des odeurs moins marquées qu’avec ma grand-mère. C’est elle après tout qui m’a appris à gérer mes émotions – et celles des autres – que je ressentais. Elle avait aussi commencé à m’expliquer comment gérer mes transformations avant que j’aille à l’Institut. Elle s’était même attiré les foudres de ma mère. Je me souviens de cette dispute. Maman avait crié si fort que les voisins étaient venus demander ce qu’il se passait et que j’avais été contraint de calmer tout seul, du haut de mes six ans, Isao qui pleurait dans son lit de bébé.
C’est au cours de cette année que je suis allé pour la première fois à l’Institut. C’était un nouveau monde qui s’offrait à moi et je comptais bien en profiter. J’étais toujours heureux de rentrer chez moi bien sûr, mais à chaque fois, Isao avait grandi et pris en assurance et j’avais du mal à retrouver ma place auprès de ma famille. Celui-là, qu’est-ce qu’il était doué pour manipuler son monde. Il n’y avait que moi qui voyait clair dans son jeu, et il le savait. Il a encore plus détesté que moi la naissance des filles. Au début j’avais été réticent, je n’étais pas prêt à partager encore plus l’amour de mes parents. Contrairement à Isao, elles ont cependant réussi à m’attendrir et j’étais devenu le plus dévoué des grand-frère dès que je voyais leurs petits visages se tordre et leurs petites mains bouger. J’avais 9 ans.
Je ne les verrais jamais marcher.
Je ne me chamaillerais plus jamais avec Isao.
Je n’entendrais plus ma grand-mère me raconter des récits d’un autre temps.
Je ne mangerais plus jamais la soupe de poisson de mon père.
Ni les glaces au matcha de ma mère.
Car il y eut un tremblement de terre au Japon. Et que notre immeuble s’écroula sur eux sans que personne ne puisse rien y faire. Les dons de mon père n’avaient rien pu faire. Et j’étais à l’autre bout du monde. Et j’étais orphelin.
J’avais 10 ans.
* Possède un perroquet nommé Cléo qui se déplume par stress... mais aussi parce qu'il est infoutu de rester tranquille et qu'il stalke Yui partout pour peu que celui-ci oublie de bien fermer la cage. Résultat on ne compte plus de nombre de fois qu'il s'est retrouvé à être la cible de magie sans rien pouvoir y faire. Un survivor je vous dis. * Il a passé la moitié de son année 2000 avec une queue de renard... ou des oreilles... ou les moustaches avant d'arriver à l'Institut. Du coup, il en a pris l'habitude et il n'est pas rare de le voir se balader avec des oreilles animales ou avec un peu de fourrure à des endroits stratégiques. Ça l'amuse et ça le fait se sentir plus proche de ses origines. * Il n'est retourné au Japon qu'une fois depuis l'incident, pour l'enterrement, et il s'est promis de ne plus jamais y remettre les pieds. * Yui est parfois somnambule. Plus le genre à parler dans son sommeil, voire à chanter, que bouger. Mais il s'est déjà réveillé une fois, mouillé, enroulé dans un serviette de bain, allongé dans son lit. Y'a de quoi paniquer. *
De l'autre coté de l'écran
♪ Pseudo/prénom Miak
♪ âge 23 ans
♪ Présence 7/7 théoriquement
♪ tu nous as trouvés comment ? J’ai juste fait un bond de puce depuis le Chaudron.
♪ Une dose d'amour ? Vouiiiiiii, vous êtes merveilleux, je le sais déjà :3
louha